Saturday, January 15, 2011

Le cri de la mer

-I had a FRH 303 class, which was an advanced grammar course and here are some of the compositions I wrote for it. This short essay was for us to utilize imagery and poetic writing.

Assis bas dans le ciel, le soleil a renoncé son pouvoir à la nuit qui approchait avec son armée de noirceur. Le ciel a été coloré des rayons du soleil diminuant. Comme si au ralenti, la toile orange foncé joignait avec la mer bleue qui murmurait de même que des moines dans une église. En se reposant tranquillement dans l’eau, les bateaux des pêcheurs qui sont rentrés chez eux pour le jour, ont attendu que le lendemain arrive. À la plage, les vagues qui quittaient un sentier blanc qui ressemblait à la neige, glissaient sans bruit. La brise de la mer tirait sur des cocotiers et Hélène regardait les feuilles balancer sans vie. A part les chants tristes des grands corbeaux, le silence a chuchoté envers elle.

La nuit couvrait le ciel avec les couleurs de cendres. La brise a changé en vent. En colère, il hurlait et sifflait violemment. Hélène sentait la rage du vent qui criait dans son oreille. Pas plus calme, la mer évoluait. Elle s’est transformée et est devenue agitée. Les vagues s’écrasaient sur le sable. Lentement, la lumière a disparu à l’horizon et l’obscurité prenait le relevé du ciel. Avec les yeux fermés, Hélène écoutait le silence bruyant. Le flux de ses émotions, trop accablantes, a franchit ses barrières.

Les larmes coulaient du ciel et Hélène ne pouvait pas distingué si la moiteur sur son visage provenait du ciel ou de ses yeux. Qu’importe ? Son amant a été perdu dans une place où elle ne pouvait pas suivre. Un brouillard mélancolique a enveloppé la plage. Aujourd’hui, il s’est assis sur ses épaules. Son cœur brisé, lourd avec tristesse, souffrance et solitude, larmoyait doucement. Hélène pataugeait dans l’eau, en l’étreinte de la mer. Le sable, lisse sur ses pieds, l’a accueilli. Ne voyant pas en arrière, elle a risqué plus profondément. Alors, elle flottait, flottait sans souci pareille au lotus blanc dans un étang. La peur ne pouvait pas pénétrer son corps. Elle avait déjà souffert le pire. Sans regrets, Hélène a permis à la mer de la caressait. Peut être la mer l’emmènera-t-elle à un lieu où son angoisse pourra se dissiper.

Grade:A+ for creativity, A- for grammar

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